Le véritable risque pour la santé est la pollution de l’air intérieur

Selon une étude, qui vient d’être publiée, réalisée par l’Agence nationale de sécurité sanitaire et alimentaire de l’environnement et du travail, l’Anses, conjointement avec l’Observatoire de la qualité de l’air intérieur , l’OQAI et le Centre technique du bâtiment, le CSTB, chaque année, en France, la pollution de l’air intérieur serait responsable de près de 20 000 décès prématurés.

Suit une liste d’affections imputables à la pollution de l’air intérieur, qui commence par le cancer des reins et se termine par les maladies cardio-vasculaires, une liste dont nous préférons éviter la lecture à nos lecteurs.

Selon cette étude, le coût socio- économique engendré par cette pollution, serait de près de 20 milliards d’euros par an, dont 18 milliards correspondent au coût de la mortalité et il résulte de la baisse de la qualité de vie des personnes malades.

Il convient d’y ajouter les pertes de journées travaillées, les frais de prise en charge des soins et ceux liés à la recherche.

Pour Guillaume Boulanger de l’Anses, qui a piloté cette étude, il s’agit d’une première évaluation non exhaustive et qui correspond à une estimation basse.

Les experts ont seulement retenu six (vous en avez lu 49%, il reste à lire 51%, de cet article.)

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