L’enjeu de la cigarette électronique

La cigarette électronique connait en France un succès indéniable, des magasins de vente spécialisés s’ouvrent quotidiennement et ont tenté des millions de personnes, au point de pouvoir en parler comme d’un phénomène de société.

Des termes nouveaux sont nés comme « vapoter » et « vapotage » pour fumer et aussi pour désigner cette nouvelle pratique et « vapoteurs » pour ceux qui s’y adonnent.

On trouve dans les magasins spécialisés de plus en plus de modèles de cigarettes
électroniques, les accessoires qui les accompagnent et, bien entendu, les liquides de charge aromatiques, aux gouts des consommateurs et contenant généralement une faible dose de nicotine.

Ces liquides tomberont très probablement sous le coup d’une réglementation, pour répondre à des normes qu’il reste à définir, pour devenir un jour obligatoire, lorsque leurs éventuels effets du vapotage auront été identifiés.

La vente des cigarettes électroniques est libre et devrait le rester, mais on ne peut pas dire la même chose des liquides de charge.

Actuellement, on peut les acheter par correspondance, chez les buralistes, dans les pharmacies et dans tout autre commerce qui les propose.

On peut dire qu’il est trop tard pour en contrôler la vente, de les taxer, sauf pour les pouvoirs publics à mettre la main sur la diffusion des liquides et de traiter les cigarettes elles-mêmes, comme de simples porte diffuseurs.

Les autorités de santé se préparent à encadrer le vapotage, dont on ignore (vous en avez lu 39%, il reste à lire 61%, de cet article.)

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